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Chambres d'Hôtes au Vieux Moulin
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Cadre naturelMystérieuse et authentique, la Commune de Clohars-Carnoët invite à la découverte de ses rias et de l’océan : ses falaises, ses plages et ses ports. Terre des peintres depuis le xixe siècle, Clohars-Carnoët fascine aussi pour ses paysages boisés et ses chemins champêtres. Clohars-Carnoët est une commune française du département du Finistère, dans la région Bretagne. Ses habitants se nomment les Cloharsiens. Cette commune inclut la station balnéaire du Pouldu, le port de Doëlan et différentes plages dont celles du Kérou et de Bellangenet. À l’exception du Pouldu et de la crique de Porsac’h, le littoral est constitué de falaises rocheuses. Le sentier des douaniers (gr 34) longe la côte dans sa totalité. La station balnéaire du Pouldu occupe une ancienne zone dunaire. On y trouve trois grandes plages de sable fin : les grands Sables, Bellangenet et le Kérou. La commune compte 660 ha de bois. Les secteurs boisés se situent au nord du bourg avec la forêt domaniale de Carnoët. Le bourg de Clohars-Carnoët se situe à l’intérieur des terres. Le territoire est constitué d’une multitude de villages et hameaux. La commune est bordée de deux petits ports, Le Pouldu, à l’embouchure de la Laïta, et Doëlan, niché au fond d’une anse, près de la limite avec la commune de Moëlan-sur-Mer. Sur le littoral, avec ses superbes villas au charme bourgeois du début du xxème siècle, Le Pouldu est une ravissante station balnéaire à l’ambiance familiale. Les plages de Bellangenêt, du Kérou et des grands Sables sont parmi les plus belles de la région. Un sentier longeant les falaises dentelées et surplombant plages et criques préservées des vents mène au port de Doëlan. Le Port de Doëlan est incontestablement l’un des joyaux des petits ports bretons. Le port de Doëlan s’anime avec la vente quotidienne des côtiers qui pêchent, selon les saisons, crevettes, crabes, langoustes, sardines, bars ou maquereaux. On peut y apercevoir à quai le misainier « Le Rigolo », copie conforme d’un navire armé pour la pêche à la sardine en 1922, avec sa grande voile de 50 m2. C’est par un bel estuaire que les eaux de la Laïta rejoignent l’Océan. |                  |
