Gîte du Nideck : Un gite dans le Bas-Rhin en Alsace - Les activités

Gite Oberhaslach (Bas-Rhin) les activités : Vous serez les bien venues dans notre Gîte 3 étoiles 73 m²? qui composé de 3 pièces à Oberhaslach dans le Bas-rhin, 2 chambres, 1 chambre avec un double lit et 1 lit simple et une chambre avec 1 double lit, une cuisine hg, 1 coin repas, 1 salon,...
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Gîte du Nideck  
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Gites de charme
Madame Maria-Luisa Gaessler
16 A rue des chasseurs
67280   Oberhaslach, Bas-Rhin
Alsace , +33 (0) 6 80 10 30 40
Langues parlées :    
, gite
à partir de 294€/Semaine
5 personnes/maximum
établissement non fumeurs
nos amis les animaux ne sont pas admis
Bienvenue
Gîte du Nideck
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Cascade Du Nideck

http://www.alsacegite.org/cascade-du-nideck.html
Nature et randonnées
Bas-Rhin, Alsace

Au détour d'un sentier de randonnée, à quelques pas des ruines du Château du Nideck, admirez cette cascade dans une ambiance sauvage et boisée. La cascade du Nideck à Oberhaslach est un lieu incontournable pour la découverte de paysages originaux, elle est situé à 3 kms de notre Gîte. Située à l'entrée de la Vallée de la Bruche, dans les Vosges d'Alsace, la Cascade du Nideck se découvre à Oberhaslach.

Elle culmine à 534 mètres d'altitude, au sud des vestiges du Château du Nideck.

L'eau se jette d'une muraille de roche volcanique haute d'environ 25 mètres.

Il existe une légende, celle des géants du Nideck, qui confère à ce lieu une ambiance particulière renforcée par son côté sauvage et boisé. En été, la promenade est à la fois rafraîchissante et ombragée.

En hiver, le lieu devient très romantique grâce au charme des chutes d'eau prises dans la glace. La cascade est accessible par un chemin de randonnée qui commence à côté d'un restaurant depuis la D218.


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Château Du Haut-koeinigsbourg

http://www.haut-koenigsbourg.fr
Monuments historiques
Bas-Rhin, Alsace

Haut-Kœnigsbourg Bien plus qu'un monument Un château au cœur de l'Alsace L'Alsace est l'une des régions d'Europe qui compte le plus de châteaux forts médiévaux ! Aujourd'hui en ruine dans leur grande majorité, leurs silhouettes font partie du paysage depuis des générations.

La plus emblématique est bien celle du château du Haut-Kœnigsbourg ! Dressé à près de 800 m.

d'altitude au cœur du massif vosgien, il est une étape incontournable pour comprendre l'histoire de la région et par là même, celle de la France et de l'Europe. L'année 2014 signe le lancement d'une belle nouveauté : la Route des Châteaux et Cités fortifiées d'Alsace.

Adécouvrir, d'autant que le château est aussi le point de départ de nombreuses escapades à travers la région.

Vers Sélestat, Coimar ou Strasbourg, de nombreux sites touristiques y sont accessibles en moins d'une heure.

Certains sont â peine à quelques minutes...

Sur le massif du Haut-Kœnigsbourg, la Montagne des Singes et ia Volerïe des Aigles offrent, tous les jours entre avril et novembre, l'occasion de rencontres surprenantes avec des animaux malicieux et majestueux. 900 ans d'histoire: Repères chronologiques du moyen Âge à nos jours 1147 Première mention du château sous le nom de « Castrum Esîuphin ».

Il appartient alors à la famille des Hohenstaufen. 1462 Devenu refuge de chevaliers brigands, le château est assiégé et démantelé. 1479 Propriété des Habsbourg, il est confié en fief aux Tierstein qui le reconstruisent, l'agrandissent et l'équipent d'un système défensif moderne. 1633 La guerre de Trente Ans fait rage en Alsace.

La forteresse est assiégée par les Suédois.

Un incendie fortuit la détruit définitivement. 1648 Louis XIV en qualité de souverain de la province d'Alsace (traité de Westphalie) devient propriétaire du domaine. 1862 Après 2 siècles d'abandon, les ruines, remarquablement conservées, sont classées par les monuments historiques. 1899 Le château est offert par la ville de Sélestat à l'empereur allemand Guillaume II.

El confie la restauration intégrale de la forteresse à l'architecte Bodo Ebhardt, spécialiste de la fortification médiévale. 1908 Fin des travaux.

Le château restauré est inauguré le 13 mai par Guillaume II.

Jusqu'à la Première Guerre mondiale, la restauration se poursuit par l'aménagement intérieur de décors peints et de collections (armes et mobiliers). 1919 Le château entre dans le domaine national français parle traité de Versailles.

1993 Le château du Haut- Kœnigsbourg, monument national, est classé monument historique dans sa totalité.

2006 Jusqu'en décembre, le château du Haut-Kœnigsbourg est géré par le Centre des monuments nationaux. 2007 Dans le cadre de la loi du 13 août 2004, relative aux libertés et responsabilités locales, le château du Haut-Kœnigsbourg est le premier monument national transféré à une collectivité territoriale.

Le Conseil Général du Bas-Rhin devient propriétaire du château le 1er janvier 2007.

2008 Le château du Haut-Kœnigsbourg célèbre le centenaire de sa restauration. 2009 Ouverture d'un espace d'interprétation audiovisuel dédié aux personnes à mobilité réduite et polyhandicapées.

Un investissement de près de 450.000 euros a permis l'installation et l'aménagement de ce lieu. 2010 80.000 euros sont investis dans la réalisation d'outils innovants d'interprétation du château pour les publics handicapés (maquette tactile, visio-guides, visite en audio- description...).

Le Conseil Général du Bas-Rhin et l'État consacrent 2,2 millions d'euros pour la restauration de la maison alsacienne.

Un chantier prévu sur 3 ans qui a débuté en février 2010. 2011 7,7 millions d'euros sont engagés pour la mise aux normes des installations techniques du château.

Début d'une nouvelle phase de travaux, programmée sur 3 ans, inscrite au schéma directeur des travaux. 2012 Le château du Haut-Kcenigsbourg reçoit le Diplôme de Mérite et de Prestige Européen du Comité de l'Europe.

Ce prix récompense la restauration, la mise aux normes et l'accessibilité aux publics spécifiques et handicapés.

Cette dernière action est doublement récompensée par le Trophée Femmes du Tourisme 2012. L'histoire du château et de ses transformations Une forteresse du Moyen Âge, propriété de plusieurs dynasties impériales. LES HOHENSTAUFER , FONDATEURS DU CHÂTEAU. La plus ancienne mention connue du château du Haut-Kœnigsbourg date de 1147, les Hohenstaufen en sont alors les premiers propriétaires.

A cette époque, ces derniers tentent de faire de l'Alsace la base de leur puissance, pour s'assurer le contrôle du Saint Empire Romain Germanique.

L'implantation géographique stratégique du château permet aux Hohenstaufen de dominer d'importantes voies commerciales : les routes du sel et de l'argent (est-ouest) et celle des céréales et du vin (nord-sud). Du château de l'époque des Hohenstaufen, il subsiste encore aujourd'hui de nombreuses parties romanes visibles dans le donjon, le haut-jardin et le logis. L'ÉPOQUE DES HABSBOURG Après les Hohenstaufen, les ducs de Lorraine et l'Evêché de Strasbourg, une seconde dynastie impériale intègre le château du Haut-Kœnigsbourg à ses possessions : les Habsbourg.

Le château conserve alors toute son importance stratégique et marque la borne occidentale du Saint Empire Romain Germanique, exposé aux appétits des ducs de Lorraine et des rois de France. En 1462, le château est investi par des chevaliers-brigands.

Plusieurs villes de la plaine décident de s'unir pour mener contre eux une expédition punitive.

Le château est pris et détruit. En 1479, les Habsbourg cèdent en fief le château du Haut-Kœnigsbourg à la famille Tierstein, originaire de l'actuel Jura suisse, qui en adapte le système de défense à l'artillerie à feu.

C'est l'apogée du développement architectural de la forteresse, sans doute alors la plus moderne du massif vosgien.

Au début du 16e siècle, les Tierstein rencontrent des difficultés financières les obligeant à s'en séparer.

Jusqu'en 1633, les Habsbourg y placent plusieurs familles nobles.

Ces dernières n'entretiennent cependant que très peu le château. Bien plus qu'un monument 1633-1899 : de l'abandon au rêve de restauration. LES ANNÉES SOMBRES : L'ALSACE AU CŒUR DE LA GUERRE DE TRENTE ANS L'Alsace est l'un des enjeux majeurs de la guerre de Trente Ans (1618-1648).

En 1633, une garnison suédoise assiège le château pendant 52 jours.

La forteresse résiste aux assauts de l'artillerie ennemie mais sa population affamée est contrainte de capituler.

Peu de temps après, un incendie détruit le château et marque le début d'une longue période d'abandon du château du Haut-Kœnigsbourg. A partir de 1648, après la signature des traités de Westphalie, l'Alsace devient progressivement française.

Les ruines du château du Haut-Kœnigsbourg, pourtant remarquables (70% du château est encore en élévation), sont livrées à elles-mêmes pendant près de deux siècles.

La nature reprend ses droits, la végétation envahit le monument et son site. LA PERIODE ROMANTIQUE DU CHATEAU DU HAUT-KŒNIGSBOURG Ce n'est qu'au 19e siècle, à la faveur du mouvement romantique, que l'intérêt pour les ruines du château du Haut-Kœnigsbourg renaît.

Le Moyen Âge et ses vestiges fascinent les intellectuels et les artistes.

Poètes, peintres, photographes mais aussi historiens et architectes s'approprient les vieilles pierres chargées d'histoire.

Les vestiges du château du Haut-Kœnigsbourg constituent pour eux une grande source d'inspiration par leur ampleur et leur beauté. Les ruines du château sont classées monument historique en 1862, puis acquises trois ans plus tard par la ville toute proche de Sélestat.

Très vite, des projets de restauration sont imaginés, mais par manque de moyens financiers, ils restent sans suite. Le château du Haut-Kœnigsbourg à l'aube du 20e siècle : vitrine des ambitions politiques de l'empereur Guillaume II LE DON FAIT A L'EMPEREUR GUILLAUME II En 1871, l'Alsace est intégrée dans l'empire allemand.

Pour Guillaume II de Hohenzollern, empereur à partir de 1888, le château du Haut-Kœnigsbourg symbolise la borne occidentale du Saint Empire Romain Germanique dont il se réclame l'héritier.

En 1899, le château lui est offert par la ville de Sélestat.

Il décide de faire restaurer le monument pour en faire un musée à la gloire de la chevalerie germanique du Moyen Âge et de la Renaissance. L'ARCHITECTE BODO EBHARDT Pour mener cette vaste restauration, Guillaume II nomme un jeune architecte, Bodo Ebhardt.

Passionné par le Moyen Âge et les châteaux forts, Bodo Ebhardt choisit de restituer le château tel qu'il existait à l'époque des Tïerstein, autour de l'an 1500.

Les murs conservés jusqu'à la hauteur des mâchicoulis et les voûtes, encore partiellement préservées, lui fournissent une base de travail solide.

Dès 1900, la restauration est entreprise avec les moyens les plus modernes de l'époque.

Une partie de la décoration du château est confiée à Léo Schnug chargé de la réalisation de peintures murales.

Une association, le « Hohkônigsburgverein », s'occupe de rassembler des meubles et objets des 15e, 16e et 17e siècles qui doivent donner vie au monument. Le saviez-vous ? Le château du Haut-Kœnigsbourg a inspiré quelques-uns des chefs-d'œuvre du cinéma : en 1937, Jean Renoir le choisit comme décor pour son film « La Grande Illusion ».

Dans les années 2000, le château sert d'exemple au directeur artistique du « Seigneur des anneaux » pour dessiner la « citadelle de Minas Tirith ». L'ESPRIT DE LA RESTAURATION Les opérations débutent par une campagne photographique.

La ruine est déblayée, un dépôt de fouilles est constitué, donjon, logis, enceintes et ouvrages militaires sont relevés.

En 1906, une cérémonie est organisée lorsque l'aigle emblématique est fixé au sommet du donjon.

Le château restauré est inauguré en grande pompe le 13 mai 1908. Le château du Haut-Kœnigsbourg est également marqué par les ambitions politiques de Guillaume II.

Il désire, par cette grande opération de restauration, séduire les Alsaciens et s'inscrire dans la lignée des Hohenstaufen et des Habsbourg, illustres empereurs l'ayant précédé en Alsace.

Parmi les symboles politiques apparaissant dans le monument, on trouve des signes lapidaires utilisés par Bodo Ebhardt.

Pour chaque année de chantier, une marque spécifique est gravée sur les blocs de pierre.

L'un des huit signes utilisés par l'architecte, celui de 1903, représente un aigle formé des trois « H » des grandes familles impériales propriétaires du château {Hohenstaufen, Habsbourg, Hohenzotlern). La dimension politique de la restauration prend toute son ampleur dans la salle dite « du Kaiser » ou « salle des fêtes ».

Les fresques héraldiques de Léo Schnug rappellent avec force la germanité de l'Alsace.

L'aigle impérial, couronné par la devise prussienne « Gott mit uns » (Dieu avec nous), occupe toute la largeur de la voûte. En 1995, une tempête détrône l'aigle de cuivre installé en 1906 au sommet du donjon.

Un parchemin rédigé par l'Empereur lui-même y est découvert.

Il y exprime la toute puissance impériale et la grandeur allemande. DE LA PROPRIÉTÉ IMPERIALE ALLEMANDE AU DOMAINE NATIONAL FRANÇAIS Le château ainsi restauré est inauguré le 13 mai 1908.

En présence de Guillaume II, un cortège historique entre solennellement dans le château sous une pluie battante.

Jusqu'à la Première Guerre mondiale, la restauration se poursuit par la réalisation des décors peints et l'achat de collections mené par le « Hohkônigsburgverein ».

Par le traité de Versailles de 1919, le château du Haut-Kœnigsbourg entre dans le domaine national français.

Il vient un haut lieu touristique. Un château d'exception Passer La haute porte du Haut-Kœnigsbourg, c'est plonger dans L'univers du Moyen Âge.

De La courbasse avec son auberge, sa forge et son mouLin, aux escaliers en colimaçon qui mènent aux appartements meublés du seigneur...

découvrez une architecture, un mobilier, une atmosphère chargés d'histoires.

Ponts-levis, salle d'armes, donjon et canons rappellent aussi à chaque instant la vocation de cette forteresse de montagne plusieurs fois assiégée, détruite et piLLée.

Aujourd'hui restaurée, pour le plus grand bonheur des amateurs de châteaux forts, elle domine de sa silhouette caractéristique les nombreuses forteresses de la région. Une vue imprenable Dressé à près de 800 m d'altitude sur un éperon rocheux, le château du Haut-Kœnigsbourg offre un panorama grandiose.

Depuis La plate-forme d'artillerie ou Grand Bastion, vous profiterez d'une vue unique sur La plaine d'Alsace, les vallées et les Ballons des Vosges, la Forêt-Noire, et par temps clair, les Alpes... Neuf siècles d'histoire Édifié au XIIe siècle, le château du Haut-Kœnigsbourg est pendant des siècles Le témoin de conflits européens et de rivalités entre seigneurs, rois et empereurs.

Il voit se succéder d'illustres propriétaires, dont la dynastie des Habsbourg et L'empereur d'Allemagne Guillaume II.

Ce dernier décide de redonner vie à l'ancienne forteresse et d'y créer un musée du Moyen Âge.

Au début du XXe siècle, il entreprend la restauration et La reconstruction de cet édifice assiégé, détruit et abandonné au cours de la guerre de Trente Ans.

Le chantier, remarquable par son envergure et sa modernité, dure à peine 8 ans.

Le Haut-Kœnigsbourg restauré est inauguré en 1908. Des outils d'interprétation pour tous Espace d'interprétation audiovisuel, visio guides, maquette tactile, audio guides en audio description... Tous les renseignements sur : www.haut-koenigsbourg.fr


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CollÉgiale St Florent

http://www.paroisses-bruche-hasel.fr
Monuments religieux
Bas-Rhin, Alsace

Histoire de l'église. Si la vie de saint Florent, avant de succéder à Saint Arbogast sur le siège épiscopal de Strasbourg, n’est connue que par la légende, la suite est avérée exacte même si certaines dates paraissent aléatoires.

L’origine de NiederHASLACH remonte à saint Florent que l’on place vers la fin du 6ème siècle. Il fonda l’abbaye de HASLACH au dernier tiers du 6ème siècle sur des terres épiscopales.

De ce fait, Haslach possédait son propre tribunal ayant juridiction sur plusieurs villages.

Il siégeait trois fois par an, était présidé par le représentant de l’évêque « l’avoué » assisté de 14 échevins. L’abbaye fut mentionnée pour la première fois en 826 et fut transformée au 11ème siècle en un chapitre de chanoines. C’est donc autour de celle-ci que se développa le village de HASLACH avant de devenir deux villages distincts, OberHASLACH fut mentionné pour la première fois au 11ème siècle. A la révolution, les moines furent chassés, l’abbaye fut démantelée et ses biens confisqués et vendus. La paroisse, incorporée à l’abbaye de Niederhaslach, avait encore à ce moment et jusqu’au début du 19ème siècle plusieurs filiales : le Gensbourg et le Munchhof (villages aujourd’hui disparus) Urmatt et Oberhaslach qui ne devinrent autonomes qu’au début du 19ème siècle. La légende de saint Florent : Né de parents nobles en Ecosse, il a quitté dans la fleur de la jeunesse sa famille et sa patrie pour porter au loin la Parole de l’Evangile.

S’étant joint à quelques compagnons, il est arrivé après un long périple en Alsace à un endroit où coule le ruisseau appelé par les habitants la « Hasel ». Il s’établit en ermite au pied du Ringelsberg, défricha un lopin de terre qu’il ensemença de quelques graines.

Mais les bêtes sauvages foulèrent son jardin et les mangèrent au fur et à mesure qu’elles poussaient.

Confiant en Dieu, il leur ordonna de ne plus y toucher et enfonça aux quatre coins de son jardin une baguette pour en marquer les limites.

Et voici que les bêtes n’y touchèrent plus.

Un jour, les chasseurs du roi Dagobert qui demeurait à Kirchheim, poussèrent leur battue jusqu’à l’endroit où vivait l’anachorète et y trouvèrent un gibier fort nombreux. Soupçonnant l’homme de posséder des pouvoirs maléfiques, ils se jetèrent sur lui et lui prirent le peu qu’il possédait.

Mais sur le chemin du retour, leurs chevaux s’embourbèrent dangereusement.

Considérant cela comme une punition divine, ils se repentirent et retournèrent auprès de l’ermite pour lui demander pardon.

Revenus au palais, ils racontèrent leur mésaventure au roi qui avait une fille aveugle et muette nommée Rathilde.

Très impressionné, il envoya des messagers auprès de Florent pour le prier de venir guérir sa fille.

Montant sur son âne, le thaumaturge se rendit à Kirchheim.

Arrivé à quelque distance du palais, la princesse retrouva la vue et la parole et s’écria « Voilà le saint homme qui m’a guérie ! ». Etant entré dans le palais du roi, il ne se présenta personne pour lui prendre son manteau.

Confiant en Dieu et pour montrer que c’est par Dieu que le miracle s’est réalisé, il accrocha son vêtement à un rayon de soleil.

Pour récompenser le saint homme, le roi lui donna tout le territoire dont il pourra faire le tour pendant qu’il prendra son bain.

A son retour le roi venait d’y sortir et Florent lui tendit son gant pour achever la toilette. En réalité, le diplôme de la donation du roi Dagobert, malgré les efforts qu’on a faits pour lui donner un air de vérité, est un faux qui se révèle être l’œuvre d’un chanoine du 12ème siècle extrêmement intéressé à assurer le patrimoine du chapitre. Saint Florent est également reconnu comme le fondateur de l’abbaye de saint Thomas à Strasbourg où il fut enterré après sa mort.

L’Evêque Rachio fit transférer ses reliques à Haslach le 7 novembre 810 prétextant que c’était le vœu du Saint.

En réalité, il voulut asseoir l’autorité des évêques de Strasbourg sur les biens qu’ils détenaient depuis plusieurs siècles.

Ce transfert répondait sans doute aussi aux velléités expansionnistes en Alsace des évêques de Metz et parce qu’il avait choisi ce lieu pour son propre lieu de sépulture le moment venu. C’est à partir de ce moment que Haslach devint un lieu de pèlerinage qui perdure toujours.

Saint Florent est sollicité pour la guérison des maux de ventre, hernies, maladie des yeux, et en encore dans un passé proche, les paysans venaient implorer la protection de ce supposé ami des animaux pour leur bétail et les animaux de leur ferme dont dépendait leur subsistance. Historique de la construction de l’église. Le transfert des reliques de saint Florent à Haslach, le développement de la collégiale, le pèlerinage florissant fit la fortune du Chapitre, d’où la décision de construire une église digne de leur saint. L’église de Niederhaslach est une magnifique collégiale datant des XIIIème et XIVème siècles, classée monument historique depuis 1846 par Viollet-le-Duc.

Elle compte parmi les plus beaux joyaux de l’art gothique en Alsace. Il y eu trois églises à Niederhaslach. La première église préromane, probablement du temps de saint Florent, fut révélée par des fouilles entreprises au 19ème siècle.

Elle fut citée pour la première fois dans une charte en 1096, et n’était pas grande. L’origine de la deuxième église remonte à 1274.

Dans une indulgence émise cette année là, l’évêque Conrad de Lichtenberg appelle les fidèles à soutenir la reconstruction de l’église vétuste et en ruine. Mais malheureusement, le 2 juin 1287, un incendie du à la foudre détruisit la nouvelle construction sauf l’abside qui resta intact.

Une inscription sur l’un des contre-piliers du chœur rappelle cet incendie. La reconstruction de la 3ème église, encore plus grande que la précédente, fut entreprise par Gerlach Von Steinbach, fils de l’architecte de la cathédrale de Strasbourg, ce qui explique certaines similitudes avec cette dernière.

Mais il y trouva la mort accidentellement en tombant d’un échafaudage en 1330.

Sa dalle funéraire est conservée à la collégiale dans la chapelle dite de la Vierge.

Les travaux durèrent jusqu’en 1385 soit 55 ans pendant lesquels l’église fut fortifiée et entourée d’un mur d’enceinte. Le chapitre de Haslach et par conséquent le village lui-même connurent plusieurs périodes difficiles, notamment pendant la guerre de l’évêque Walter de Geroldseck en 1262, la guerre des Rustauds ou des paysans en 1525, la guerre de 30 ans qui vit arriver les Suédois qui mirent tout à feu et à sang.

L’église fut partiellement incendiée le 6 juin 1633 malgré l’intervention du roi Louis XIII.

Ce n’est qu’après sept décennies qu’elle retrouva un toit. Puis se succédèrent en 1744 la guerre de Pandours qui la transformèrent en boucherie, en 1778, la guerre de la succession de Bavière où elle servit d’écurie, puis la révolution française sans que le bâtiment n’ait à subir de dommages significatifs. C’est de 1854 à 1870 que le dynamique curé de l’époque, l’abbé Jean-André Kramer entreprit une nouvelle restauration devenue nécessaire et qui se termina définitivement en 1877.

Les travaux furent dirigés par M.

Boeswillwald, architecte des Monuments de France et qui lui donnèrent l’aspect actuel. Le 3 juillet 1989, le conseil municipal pris la décision d’entreprendre à nouveau des travaux indispensables de restauration qui se déroulèrent en plusieurs phases : de 1990 à 1996 pour l’extérieur et de 2000 à 2006 pour la partie intérieure. La collégiale abrite, après la cathédrale de Strasbourg, le plus grand nombre de vitraux narratifs médiévaux et originaux de toute l’Alsace.

Le vaisseau et le choeur offrent de nombreux jeux complets des 13ème et 14ème siècles et forment une collection exceptionnelle et unique dans la région .

Ces verrières ont échappé par miracle aux différents évènements (incendies, pillages, conflits) qui ont ponctué l’histoire mouvementée de l’édifice depuis sa construction. Outre les vitraux, d’autres éléments architecturaux valent le déplacement : un des derniers Saint-Sépulcre du 14ème siècle en parfait état et conservé dans une église un baptistère de forme octogonale du 13ème siècle, le chœur des chanoines avec ses stalles, ses lutrins et ses boiseries, le grand lustre l’abside, partie la plus ancienne du bâtiment, datant du 13ème siècle, en forme de dodécagone à 7 pans et ses vitraux d’une très grande beauté. le reliquaire de saint Florent (1716) et le gisant de l’évêque Rachio. A l’extérieur : un portail sculpté ainsi qu’une rosace de 4 m de diamètre du début du 14ème siècle sur la façade occidentale. un magnifique « mont des oliviers » avec des restes de polychromie (1492) adossé au mur côté nord et qui figure parmi les plus anciens conservés en Alsace. Histoire des reliques de saint Florent et de son reliquaire Evêque de Strasbourg, Saint Florent fut enterré après sa mort à Saint-Thomas, abbaye qu’il avait également fondée. Le 7 novembre 810 l’évêque RACHIO fit transférer les reliques de saint Florent de Strasbourg à Haslach, lieu qu’il avait élu pour sa propre sépulture. Mais, au cours du début du XIIe siècle, les chanoines de Saint-Thomas répandirent le bruit que Haslach possédait de fausses reliques et que ce sont eux qui détenaient le corps de saint Florent.

Eclata alors ce qu’on appela « la guerre des reliques » qui ne s’achèvera qu’au moment où Saint-Thomas passa au protestantisme lors de la Réforme. Les reliques, au cours des différents conflits, ont souvent dû être mises en sécurité.

A Saint-Dié pendant la guerre des princes protestants, à Molsheim pendant la guerre de trente ans, à Mutzig puis de nouveau à Molsheim pendant la guerre de Hollande, à Strasbourg au couvent Sainte Madeleine pendant la guerre de succession d’Espagne et en 1744 à Saint-Etienne. Elles revinrent définitivement à Niederhaslach le 7 novembre 1744 pour ne plus quitter le village. Pendant la révolution française, elles furent cachées par les habitants du village au risque de leur vie. La châsse de saint Florent est en cuivre doré et a été exécutée en 1716 par Jacques Fajard, un des premiers orfèvres français installés à Strasbourg. A l’intérieur, se trouve un coffret, dont la structure est en bois et le décor en stuc doré, qui a été réalisé en 1853 par le menuisier Florent Striffler et le sculpteur Alexandre Rudloff, tous deux originaires du village, pour mettre à l’abri les reliques qui avaient été souillées accidentellement par de l’huile de la lampe du sanctuaire. Inscrit sur l’inventaire des monuments historiques, le reliquaire a fait l’objet de plusieurs restaurations dont la dernière date de novembre 2011. Le jardin lapidaire ou Jardin du cloître. C’est une partie du vaste enclos fortifié médiéval qui abritait en plus de l’église, un cloître romaine, le cimetière des chanoines et celui des paroissiens. Le cloître se situait au nord-est de l’église et dont une partie subsistait encore au début du 19ème siècle. Au milieu du 19ème siècle, l’abbé Kramer releva une soixantaine de dalles funéraires datant du 13ème au 18ème siècle dont il en reste 38 d’après un récent relevé, un gisant sous un enfeu gothique du 14ème siècle, un chemin de croix baroque du 17ème siècle, qui constitue un patrimoine qui mériterait d’être restauré et mis en valeur et une grotte de lourdes édifiée en 1930.



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Fort De Mutzig

http://www.fort-mutzig.eu
Monuments historiques
Bas-Rhin, Alsace

Le Fort de Mutzig « Feste Kaiser Wilhelm II » Les travaux de construction du fort de Mutzig débutent en avril 1893 inaugure une ère nouvelle en matière de construction de fortification en Allemagne, l'Alsace fait partie de l'empire allemand depuis 1871.

L'invention de la mélinite, nouvel explosif capable de détruire aisément les structures maçonnées des forts traditionnels, contraint tous les états européens à se doter de nouvelles fortifications de plus en plus sophistiquées constitue aujourd'hui un formidable concentré de d'innovations techniques et un lieu de mémoire exceptionnel en Alsace.

Il propose à la curiosité des visiteurs non seulement un ensemble complet et unique d'objets, matériels et équipements de fortification, intégralement restaurés mais également une découverte des grandes réflexions stratégiques d'une époque obnubilée par la nécessité de la guerre. Une mission stratégique : Le commandement allemand décide entre 1891 et 1893 la construction de la Feste Kaiser Wïlhelm II.

Sa mission consistait à verrouiller toute offensive française en Alsace cherchant à remonter vers le Nord.

La mise au point du plan d'attaque du Général von Schlieffen donnera une importance stratégique au Fort de Mutzig : garantir les arrières du corps de bataille engagé en Belgique contre une éventuelle offensive française en Alsace. Une révolution technologique : Les ingénieurs militaires allemands vont construire à Mutzig des ouvrages intégrant pour la première fois de nouvelles technologies, de nouveaux concepts, qui vont révolutionner la fortification.

Le Fort de Mutzig, prototype d'une nouvelle génération de fortifications, constitue un vaste laboratoire de recherches et d'adaptation de ces nouvelles technologies : le béton : En l'espace de deux ans le matériau de construction bascule de la maçonnerie au béton : construit en 1893, le fort Est est encore construit en brique et pierre de taille, mais il est complètement recouvert d'une dalle de béton épaisse de 1 m, le fort Ouest en 1895 est lui entièrement bétonné. le cuirassement : Le fort Est fut doté des 4 premières tourelles réglementaires pour obusier de 150 mm, d'une tourelle d'observation, de 6 tourelles à éclipse pour canons de 51 mm ainsi que de 3 cloches d'observation blindées, c'est le premier emploi systématique de cuirassement en fortification allemande. l'électricité : Le fort Est de Mutzig est le premier fort doté d'une centrale électrique destinée à fournir le courant électrique pour la ventilation, l'éclairage, les pompes, etc..

L'introduction du courant électrique permettra progressivement d'introduire tout un ensemble de technologies modernes : ventilation des fosses septiques, ventilation centralisée, pompes de relevage, projecteurs, radio, outillage électrique, pétrin mécanique, etc. la fortification éclatée : Le fort masse entouré d'un fossé commun, avec sa trop forte concentration des éléments vitaux (artillerie, observation, chambres de troupe, commandement, centrale électrique, cuisine, etc.), est remis en cause lors de la planification du 3eme fort au Nord-Ouest.

La fortification éclatée appelée « Feste » est inventée : elle se compose d'ouvrages spécialisés, entièrement enfouis et reliés par des galeries souterraines, batteries, observatoires, postes de commandement, casernes à l'épreuve des bombes, etc.

Les ouvrages sont entourés par un ensemble de tranchées de tir qui assurent la protection d'infanterie. Une fortification relativement intacte Par sa simple présence la Feste Kaiser Wilhelm II a empêché toute opération militaire dans sa zone.

Les combats du mois d'août 1914 montrent parfaitement à quel point sa seule présence a été déterminante dans le déroulement des opérations.

L'artillerie du Fort, les 14 tourelles de 105 mm, tireront 291 coups le 18 août 1914 en direction d'Urmatt - Lutzelhouse et contraindront les unités françaises au repli.

Il passe intact sous la responsabilité de l'armée française qui le maintiendra pour finalement lui assigner le rôle de PC arrière de la défense du Rhin.

Quelques tirs seront effectués le 18 juin 1940 mais aucun combat ne sera livré là non plus.

Les combats de 1944 se sont concentré sur le fort Est qui, seul porte quelques traces de combats.

Aucun ferraillage ni démontage (sauf 50% des canons 105 mm à bouclier en 1917) ne seront effectués, les installations fonctionnent encore à 50-75% en 1947. Un lieu de mémoire de premier plan Pour l'Alsace et toute la région du Rhin supérieur, le Fort de Mutzig, unique exemplaire de sa génération dans la région, est le monument témoin de cette histoire franco-allemande récente, sa vocation pédagogique et pacifique est indiscutable. La publication du livre « Die Feste Kaiser Wilhelm II » en 1981 permet au grand public de découvre le Fort de Mutzig et à un groupe de bénévoles d'obtenir une autorisation d'entreprendre une action de sauvegarde.

Depuis 1984, un nombre incalculable d'heures de travail a été investi dans l'action de restauration de la zone restaurée du fort.

Progressivement, il reprend son aspect d'origine, ses équipements souvent en piteux état retrouvent leur intégrité; le visiteur peut parcourir aujourd'hui un ouvrage proche de ce qu'il était au cours de la première guerre mondiale. Coopération franco allemande, pédagogie et tourisme Le chantier de restauration est une activité permanente, elle côtoie des chantiers plus immatériels comme la recherche historique ou la communication et le marketing.

Certains chantiers dépassent notre capacité propre en raison de leur coûts ou de l'outillage et du savoir faire technique nécessaire pour les mener à bien.

Pour cela, nous devons augmenter le nombre de visiteurs pour nous permettre de financer ces travaux et d'obtenir des subventions en conséquence qui nous font cruellement défaut actuellement.

Les commémorations de 2014 pour le centenaire doivent nous permettre d'augmenter sensiblement notre audience hors Alsace.

Nous y travaillons activement.

La nouvelle association « Le Fort de Mutzig » créée en 2007 est positionnée comme une association franco-allemande, véritable creuset de travail autour du patrimoine commun, de réflexion sur notre histoire.

Le monde de l'éducation, une première mouture de fiches pédagogiques été mise en ligne sur le site Internet www.fort-mutzig.eu, découvre progressivement la valeur pédagogique du site. En 2014 plus de 28 000 visiteurs ont parcourus les 2 km du circuit et écoutés les commentaires des guides.

La plus belle récompense est contenue dans les appréciations flatteuses et enthousiastes des visiteurs
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Réf. gtx0ir-31033/fb.-2019 - Mis à jour le 01/02/2017 à 00:00 - Vu 7652 fois